La compagnie
© photo de Davide Picci, Trois CL
Fondée par Marion Alzieu, la compagnie Ma’ est basée à Chambéry (France). Elle y développe et expérimente une gestuelle de danse en dialogue constant avec d’autres formes d’art, de cultures, de styles et d’environnements. L’hybridité est au cœur de sa démarche.
En se reliant à l’actualité et à la richesse de son expérience, Marion met en danse pour exprimer une harmonie profonde de nous-mêmes, une alchimie entre nous et l’autre, par le biais de créations pour plateaux mais également de pièces in situ. Marion aime se challenger dans de nouveaux terrains pour s’interroger sur l’adaptation, sur l’impermanence de sa danse, et rencontrer d’autres publics.
Ainsi, elle développe également des actions culturelles en lien direct avec ses créations auprès de participants multiples (détenus, EHPAD, collèges, lycées, groupes de femmes, personnes en situation de handicap…).
La compagnie a diffusé ses pièces en France, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique de l’Ouest.
Marion a été artiste associée au Dôme Théâtre d’Albertville de 2021 à 2023.
La compagnie Ma’ est soutenue par le Département de Savoie et la Ville de Chambéry.
En se reliant à l’actualité et à la richesse de son expérience, Marion met en danse pour exprimer une harmonie profonde de nous-mêmes, une alchimie entre nous et l’autre, par le biais de créations pour plateaux mais également de pièces in situ. Marion aime se challenger dans de nouveaux terrains pour s’interroger sur l’adaptation, sur l’impermanence de sa danse, et rencontrer d’autres publics.
Ainsi, elle développe également des actions culturelles en lien direct avec ses créations auprès de participants multiples (détenus, EHPAD, collèges, lycées, groupes de femmes, personnes en situation de handicap…).
La compagnie a diffusé ses pièces en France, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique de l’Ouest.
Marion a été artiste associée au Dôme Théâtre d’Albertville de 2021 à 2023.
La compagnie Ma’ est soutenue par le Département de Savoie et la Ville de Chambéry.
© photo de Philippe Magoni
© photo de Paolo Porto
Née en France, dans les Pyrénées-Atlantiques, Marion se passionne très jeune pour la danse sous toutes ses formes.
Après des études secondaires, elle étudie au Centre James Carlès à Toulouse puis dans la formation professionnelle Coline à Istres.
À sa sortie de formation, elle travaille pour les chorégraphes Emmanuel Gat, Jasmin Vardimon, Salia Sanou, Hervé Chaussard, Chiara Taviani, Serge Aimé Coulibaly et Amala Dianor.
C’est en 2014 qu’elle crée son premier solo, « Ceci n’est pas une femme blanche », et fonde, dans le même temps, la compagnie Ma’. Son solo tourne en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique pendant près de 9 ans, et reçoit plusieurs distinctions dans différents concours internationaux.
En 2018, elle est invitée à chorégraphier le défilé pour l’ouverture de la Biennale de la Danse de Lyon, pour la ville de Villeurbanne, en collaboration avec le chorégraphe burkinabé Sigue Sayouba.
En 2019, sa troisième pièce, le duo « W », voit le jour, avec le musicien franco-burkinabé Michael Avron, compositeur avec qui Marion collabore depuis 2012.
Marion obtient son DE de professeur de danse contemporaine en 2020 au CND de Lyon, ce qui lui permet d’ancrer son activité d’intervenante dans des formations professionnalisantes et des actions culturelles auprès de multiples publics.
Pour 2 saisons, de 2021 à 2023, le Dôme Théâtre d’Albertville l’invite en tant qu’artiste associée. C’est l’occasion pour elle de créer sa première pièce de groupe « Si c’est une fille » en 2022. Également, elle oriente sa démarche sur des terrains multiples et nouveaux pour elle en créant une performance pour les musées « UNE » et une performance pour les espaces montagnards « AlttaÏ ».
En 2024, elle crée la pièce « Hold Fast » qui met en avant son intérêt pour le KRUMP, danse qui l’inspire depuis plusieurs années.
Après des études secondaires, elle étudie au Centre James Carlès à Toulouse puis dans la formation professionnelle Coline à Istres.
À sa sortie de formation, elle travaille pour les chorégraphes Emmanuel Gat, Jasmin Vardimon, Salia Sanou, Hervé Chaussard, Chiara Taviani, Serge Aimé Coulibaly et Amala Dianor.
C’est en 2014 qu’elle crée son premier solo, « Ceci n’est pas une femme blanche », et fonde, dans le même temps, la compagnie Ma’. Son solo tourne en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique pendant près de 9 ans, et reçoit plusieurs distinctions dans différents concours internationaux.
En 2018, elle est invitée à chorégraphier le défilé pour l’ouverture de la Biennale de la Danse de Lyon, pour la ville de Villeurbanne, en collaboration avec le chorégraphe burkinabé Sigue Sayouba.
En 2019, sa troisième pièce, le duo « W », voit le jour, avec le musicien franco-burkinabé Michael Avron, compositeur avec qui Marion collabore depuis 2012.
Marion obtient son DE de professeur de danse contemporaine en 2020 au CND de Lyon, ce qui lui permet d’ancrer son activité d’intervenante dans des formations professionnalisantes et des actions culturelles auprès de multiples publics.
Pour 2 saisons, de 2021 à 2023, le Dôme Théâtre d’Albertville l’invite en tant qu’artiste associée. C’est l’occasion pour elle de créer sa première pièce de groupe « Si c’est une fille » en 2022. Également, elle oriente sa démarche sur des terrains multiples et nouveaux pour elle en créant une performance pour les musées « UNE » et une performance pour les espaces montagnards « AlttaÏ ».
En 2024, elle crée la pièce « Hold Fast » qui met en avant son intérêt pour le KRUMP, danse qui l’inspire depuis plusieurs années.
© photo de Jean-Pierre Fournier
Comment métisser des connaissances, les confronter les unes aux autres, pour créer un imaginaire au service d’un propos ? Comment un corps et son engagement peuvent-ils en être le vecteur ? Voilà les questionnements qui me viennent lorsque la nécessité de créer m’habite. L’objectif de mes recherches est de révéler dans un sens poétique et sensible, une traduction physique d’un message.
J’imagine le mouvement comme des volutes de sons et d’images précises, la chorégraphie comme des dessins, des nuances graphiques et esthétiques. Ainsi, tout comme en peinture, mettre en danse c’est exprimer une harmonie profonde de nous-mêmes, une alchimie entre nous et notre environnement, cadencée par des qualités éprouvées. Travaillant le corps dans une gestuelle multidimensionnelle à la fois physique, explosive, subtile, précise et singulière, je recherche dans cette matière concrète un équilibre de tensions entre tous ces éléments, toutes les textures, les douceurs et les forces, les dynamiques, pour tendre vers une clarté esthétique.
Dans cela, mon propos se fraye un chemin. J’ai la nécessité d’évoquer nos mondes contemporains, et nos actions/réactions face à ce qui les composent. L’impermanence de la société, les différentes crises économiques, sociales et spirituelles, m’évoquent des individus qui enchaînent leurs mouvements de vie. La place et la condition de la femme m’interpellent et m’intéressent particulièrement. Je vois dans notre ère une révolution en cours, un engouement pour le féminin qui m’est plus qu’inspirant. En réaction à différentes crises économiques, sociales, spirituelles et sociétales de ces dernières années, nos sociétés évoluent rapidement. Cela implique différentes interrogations : qu’est-ce qui nous est nécessaire pour survivre à travers ces évolutions ? Quelles sont les conditions pour trouver une harmonie ? Comment garder sa propre identité et ses racines dans ces changements ? Comment rester en lien avec nos corps physiques et nos croyances ?
À chaque création, je m’impose une contrainte de nouveau, que j’aime appeler « mon challenge » (nouvelle collaboration, nouveau média, nouvelle influence culturelle, nouveau terrain…). En m’y tenant, dans ce « métissage », je sors de mon confort et ainsi j’y retrouve des sources de créativité.
En tant qu’artiste, nos expressions me semblent primordiales pour prendre conscience de nos mondes, et les réinterroger chaque jour. D’autant plus, dans l’immatériel et le virtuel dans lesquels nous vivons, s’exprimer par le corps physique et ses mouvements est un engagement en soi.
J’imagine le mouvement comme des volutes de sons et d’images précises, la chorégraphie comme des dessins, des nuances graphiques et esthétiques. Ainsi, tout comme en peinture, mettre en danse c’est exprimer une harmonie profonde de nous-mêmes, une alchimie entre nous et notre environnement, cadencée par des qualités éprouvées. Travaillant le corps dans une gestuelle multidimensionnelle à la fois physique, explosive, subtile, précise et singulière, je recherche dans cette matière concrète un équilibre de tensions entre tous ces éléments, toutes les textures, les douceurs et les forces, les dynamiques, pour tendre vers une clarté esthétique.
Dans cela, mon propos se fraye un chemin. J’ai la nécessité d’évoquer nos mondes contemporains, et nos actions/réactions face à ce qui les composent. L’impermanence de la société, les différentes crises économiques, sociales et spirituelles, m’évoquent des individus qui enchaînent leurs mouvements de vie. La place et la condition de la femme m’interpellent et m’intéressent particulièrement. Je vois dans notre ère une révolution en cours, un engouement pour le féminin qui m’est plus qu’inspirant. En réaction à différentes crises économiques, sociales, spirituelles et sociétales de ces dernières années, nos sociétés évoluent rapidement. Cela implique différentes interrogations : qu’est-ce qui nous est nécessaire pour survivre à travers ces évolutions ? Quelles sont les conditions pour trouver une harmonie ? Comment garder sa propre identité et ses racines dans ces changements ? Comment rester en lien avec nos corps physiques et nos croyances ?
À chaque création, je m’impose une contrainte de nouveau, que j’aime appeler « mon challenge » (nouvelle collaboration, nouveau média, nouvelle influence culturelle, nouveau terrain…). En m’y tenant, dans ce « métissage », je sors de mon confort et ainsi j’y retrouve des sources de créativité.
En tant qu’artiste, nos expressions me semblent primordiales pour prendre conscience de nos mondes, et les réinterroger chaque jour. D’autant plus, dans l’immatériel et le virtuel dans lesquels nous vivons, s’exprimer par le corps physique et ses mouvements est un engagement en soi.
Bureau
Présidente Karine Rico-Perez
Bureau
Trésorière Claudia Pereira-Rodrigues
Administration / Production / Diffusion
Fabienne Remeuf
Administration / Production / Diffusion
Léa Turner
chorégraphe
Marion Alzieu
Costumes
Abys2fly
comédienne
Ambra Chiarello
danseur
Mickaël Florestan
danseuse
Giulia Cenni
danseur
Jean-Robert Kiki Koudogbo
danseuse
Alice Masson
danseuse
Sarah Hautot
Compositeur
Michaël Avron
Lumière
Frank Besson
Régisseur général
Rodolphe Martin
Régisseur tournée
Maël Thoni
Régie Son
Pascal Thollet
Dramaturgie
Nathalie Veuillet
Scénographie / Costumes
Catherine Cosme
Photographe
Pierre Borasci